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Stéphane Saubole - Rédacteur

Musique - Billy Preston - Avril 2018

6 Juillet 2019 , Rédigé par stephanesaubole Publié dans #Musique

Àgé de 11 ans avec Nat King Cole

Accompagnant James Cleveland

Accompagnant James Cleveland bis

Avec Andrea Crouch

Avec Brother Ray, en 1964

Accompagnant "The Genius"

Accompagnant Sam Cooke, sur l'album Night Beat, 1963

Accompagnant Sam Cooke, sur l'album Night Beat bis

Cover de Satisfaction

Sur le toit, avec les Beatles

Show TV avec une équipe de tueurs...

Live avec les Stones, en 1975

Aretha Franklin et Little Richard avec Billy Preston

Avec Little Richard, en 1985

Avec Patti Labelle et Joe Cocker

En duo Syreeta, en 1980

Featuring Johnny "Guitar" Watson, 1990

Enregistré en 2004

En hommage à Brother Ray

George Johnson: Guitars Louis Johnson: Bass Guitar

William Everett Preston, dit Billy, (né le  à Houston au Texas, États-Unis et mort le  à Scottsdale en Arizona), était un claviériste, chanteur et acteur américain. Il a d'abord accompagné des artistes tels que Little Richard, Sam Cooke, Ray Charles puis les Beatles, qu'il a rencontré pour la à Hambourg en 1962 alors qu'il avait 16 ans. Il a ensuite continué à devenir célèbre en tant qu'artiste solo, avec des singles populaires tels que That's The Way God Planned it, Outa-Space, Will It Go Round In Circles qu'il a écrite avec Bruce Fisher, Space Race et Nothing From Nothing. De plus, Preston a participé à l'écriture de la chanson You Are So Beautiful avec Bruce Fisher, qui est devenu un hit pour Joe Cocker. Stephen Stills a demandé à Preston s'il pouvait utiliser sa phrase If you can't be with the one you love, then love the one you're with et a créé la chanson à succès, Love the one you're with. Billy Preston est le seul musicien à être crédité sur un enregistrement des Beatles, en dehors des quatre membres du groupe, le single Get Back, est crédité : The Beatles with Billy Preston. Par la suite après la séparation du groupe, Billy a continué à enregistrer et à jouer avec les ex-Beatles, dont John Lennon, il joue le piano sur la chanson GodGeorge Harrison et Ringo Starr . Il a aussi accompagné Eric Clapton ainsi que les Rolling Stones.

Biographie[modifier | modifier le code]

Né à Houston, sa famille déménage à Los Angeles alors qu'il est âgé de trois ans, c'est alors qu'il apprend les premiers rudiments du piano assis sur les jambes de sa mère. Enfant prodige, il a tout appris par lui-même et n'a jamais pris la moindre leçon de piano. Dès l'âge de dix ans, il monte sur scène pour accompagner à l'orgue certains grands noms du gospel de l'époque, tels que Mahalia Jackson, James Cleveland et Andraé Crouch. Puis à 11 ans, il apparait à la télé nationale américaine pour l'émission de Nat King Cole, pour y chanter le classique de Fats Domino, Blueberry Hill en compagnie de Cole lui-même. Et toujours à l'âge de 11 ans, il joue dans le film biographique St Louis Blues sur la vie de W. C. Handy avec Nat King Cole dans le rôle-titre, Billy interprète le rôle de Handy lorsqu'il était jeune. En 1962, alors âgé de 16 ans, Billy se joint au groupe de Little Richard en tant qu'organiste, et c'est alors qu'il joue à Hambourg qu'il fait la rencontre des Beatles. En 1963, il joue l'orgue sur l'album de Sam Cooke Night Beat puis il enregistre son premier disque sous son propre nom, 16 Year Old Soul sur le label de Cooke, SAR. En 1965, il publie son album The Most Exciting Organ Ever et en 1967, il rejoint le groupe de Ray Charles. Suite à cette brillante idée, plusieurs musiciens commencent à le demander pour qu'il joue sur leurs albums.

Let It Be est le douzième et dernier album original publié par les Beatles, paru le  en Grande-Bretagne, et dix jours plus tard aux États-Unis. Au moment de sa sortie, le groupe est déjà officiellement séparé, depuis une annonce faite par Paul McCartneyle 10 avril. Les chansons présentes sur ce disque ont été enregistrées plus d'un an avant leur parution, l'essentiel étant mis en boîte en janvier 1969, avant la réalisation de l'album Abbey Road, publié en septembre 1969. Pour cette raison, Let It Be n'est pas considéré comme l'ultime album des Beatles, puisqu'il n'est pas le dernier enregistré.

L'album, supposé paraître à l'été 1969 sous le titre Get Back, est conçu au départ comme un retour aux sources : quatre musiciens jouant du rock dans des conditions live. De plus, le tout doit déboucher sur un film. Mais les difficultés, qu'elles soient d'ordre relationnel ou logistique, s'accumulent durant sa réalisation. Insatisfaits du résultat, les Beatles abandonnent le projet. Hormis trois chansons issues de ces sessions (Get Back, Don't Let Me Down et Let It Be) publiées en single, les kilomètres de bandes enregistrées en un mois sont dans un premier temps rangées au placard avant que Allen Klein, le nouveau manager du groupe, ne décide de les confier au producteur américain Phil Spector, sans consulter Paul McCartney. En mars 1970, Spector post-produit toutes les chansons à sa manière, rejette Don't Let Me Down de la liste, et le disque paraît finalement en mai sous le nom de Let It Be, en même temps que le film du même nom.

Let It Be est aussi l'un des deux albums, avec A Hard Day's Night, sur lequel Ringo Starr ne chante pas. C'est, par ailleurs, l'unique œuvre des Beatles où George Martin, quoique présent au début du projet, n'est pas crédité en tant que producteur. C'est aussi le seul album où un musicien additionnel, Billy Preston à l'orgue et au piano électrique, est présent sur 7 titres et crédité sur le single Get Back. Quant au travail de Phil Spector, il est sujet à controverse et entraîne, 33 ans plus tard sous l'impulsion de Paul McCartney, la publication d'une version « déspectorisée » : Let It Be... Naked.

Ce dernier album officiel des Beatles est initialement commercialisé sous la forme d'un coffret incluant le disque vinyle et un livre. L'album seul n'est disponible qu'en novembre. Il bat tous les records de pré-commandes avant parution aux États-Unis.

 

C'est au sous-sol, puis sur le toit de l'immeuble du 3 Savile Row que sont enregistrées les chansons de Let It Be.

Lorsque les Beatles se retrouvent au complet au siège d'Apple le , George Harrison amène avec lui un vieil ami du groupe, le claviériste américain Billy Preston, rencontré en 1962 à Hambourg, alors qu'encore adolescent, il jouait avec Little Richard dans le même club que les jeunes musiciens de Liverpool, le Star-Club10,19. Comme lorsque Eric Clapton était venu exécuter un solo de guitare sur While My Guitar Gently Weeps un an plus tôt, le groupe oublie un temps ses tensions. George Harrison explique par la suite que la présence d'un musicien extérieur pousse toujours les Beatles à bien se conduire entre eux20, et qu'il y a « littéralement 100 % d'amélioration dans l'atmosphère de la salle »21. De plus, les conditions live rendent la présence d'un cinquième instrument, le clavier, fort bienvenue.

À partir du 22 janvier, toutes les chansons qui figurent sur le disque sont donc enregistrées. Billy Preston apporte beaucoup au groupe, humainement et musicalement. Il atténue en effet les tensions entre les Beatles, mais surtout, selon George Martin, son travail, « sur [la chanson] Get Back, justifie à lui seul sa présence »23. Ce jour-là, les cinq musiciens enregistrent les premières versions de plusieurs chansons de Let It Be, ainsi qu'un instrumental intitulé Rocker et un succès des Drifters, Save the Last Dance for Me, tous deux inclus sur l'album original Get Back, mais évincés de la version finale de l'album10.

La chanson Get Back est enregistrée pour la première fois le 23 janvier, bien qu'aucune prise de ce jour-là ne soit utilisée sur l'album22. Dès le lendemain, le groupe enregistre les versions de Two of Us, Dig a Pony et I've Got a Feeling sélectionnées pour l'album Get Back, et jamais publiées officiellement22. La version de Maggie Mae qui apparaît sur l'album est mise en boîte le 24 janvier, entre deux prises de Two of Us. Une chanson de McCartney, Teddy Boy, est également enregistrée et incluse sur Get Back. Détestée par les autres Beatles, spécialement par John Lennon, elle est évincée de l'album paru en  et reprise un mois avant la sortie de Let It Be sur le premier album solo de Paul, intitulé McCartney22,24.

Du 23 au 29 janvier, les Beatles enregistrent plusieurs prises des chansons studio qui figurent sur l'album, comme For You Blue le 25, mais aussi quelques versions de chansons qui sont finalement interprétées le 30 janvier sur le toit d'Apple, comme I've Got a Feeling25. La version de Dig It présente sur le disque est un extrait d'un bœuf de plus de dix minutes, enregistré le 26 ; le même jour, le groupe reprend également des titres de ses anciens albums tels que You've Really Got a Hold on Me, de l'album With the Beatles26. La version de Get Back utilisée sur le disque, mixée avec celle captée trois jours plus tard sur le toit du bâtiment Apple, est enregistrée le 2727.

Quant à Across the Universe, si elle est répétée par le groupe entier lors de ces sessions de , c'est bien la version enregistrée aux studios EMI par John Lennon avec sa guitare acoustique le , et complétée quatre jours plus tard, qui va paraitre sur l'album, après retraitement par Phil Spector28.

Le temps de conclure le tournage du film approche, et le groupe n'arrive pas à trouver de solution qui fasse l'unanimité. Le 26 janvier, les Fab Four tombent d'accord sur l'idée de monter jouer sur le toit de l'immeuble d'Apple pour un concert privé27. Ils s'exécutent donc le 30 janvier vers midi29. Accompagnés de Billy Preston, les Beatles interprètent Get Back, Don't Let Me Down, I've Got a Feeling, One After 909 et Dig a Pony, certaines chansons étant jouées plus d'une fois. Ils concluent finalement par une troisième version de Get Back27,a 5. C'est la dernière fois que les Beatles se produisent ensemble, en concert et en dehors des studios, et bien que seul le personnel technique présent autour d'eux, quelques proches, ainsi que de rares personnes téméraires qui ont réussi à grimper sur les toits voisins y assistent, le Rooftop Concert est leur ultime prestation publique. Elle dure 42 minutes en tout.

En contrebas de l'immeuble, la foule s'amasse en regardant en l'air. Des passants montent sur les toits et bloquent les rues pour assister à cette prestation improvisée. De fait, la police, qui reçoit des plaintes pour cause de vacarme, finit par intervenir pour demander le retour à la normale. En prévision d'un événement semblable, une caméra a été installée à l'entrée du bâtiment d'Apple. Dans le film, on voit donc Mal Evans, assistant du groupe, s'occuper de négocier avec les agents de Police pour que le groupe puisse terminer ses prises. Dans une interview, des années plus tard, Ringo Starr déclare à propos de cette intervention : « Quand ils sont arrivés, j'étais en train de jouer, et je me suis dit : « Super, j'espère qu'ils vont m'embarquer ». Je voulais que les flics m'embarquent — « dégagez de cette batterie ! » — parce qu'on était filmés et que ça aurait vraiment eu de la gueule de les voir virer les cymbales et tout le matériel30. » Le concert se conclut cependant de façon pacifique. Les versions jouées en plein air, ce jour-là, de One After 909, Dig a Pony, I've Got a Feeling et une partie de Get Back sont celles que l'on entend sur l'album27. « Ce fut un des plus beaux et des plus excitants jours de ma vie », témoigne celui qui est, à cette époque, un jeune ingénieur du son assistant employé d'EMI, Alan Parsons. « Voir les Beatles jouer ensemble et recevoir la réaction instantanée des gens autour d'eux, cinq caméras sur le toit, d'autres en pleine rue… c'était juste incroyable. Une journée magique, magique27! »

Les enregistrements s'achèvent dans le studio de fortune du sous-sol de l'immeuble, le lendemain. Trois chansons (Two of Us, The Long and Winding Road et Let It Be) sont de nouveau mises en boîte, et ce sont ces prises du 31 janvier 1969 qui apparaissent sur l'album31.

Un single issu des enregistrements de janvier sort cependant le 11 avril 1969, Get Back/Don't Let Me Down33

Avec les Beatles[modifier | modifier le code]

En janvier 1969, invité par George Harrison, il participe aux sessions d'enregistrement du projet Get Back qui débouchera sur l'album Let It Be. Il joue le solo d'orgue Hammond sur la pièce-titre et sur Dig It ainsi que du piano électrique sur les chansons Get BackDig A PonyLet It BeI've Got a FeelingOne After 909 et Long And Winding Road. Puis il accompagne le groupe lors de leur concert improvisé sur le toit de l'immeuble des studios Apple. Cet ultime concert des Beatles, rapidement interrompu par l'arrivée de la police, sera fixé sur la pellicule et constitue la séquence finale du film Let It Be. Billy est à l'orgue sur les titres Something et I Want You (She's So Heavy) de l'album Abbey Road parut en Septembre 1969. Il est le seul à figurer sur la pochette d'un single des Beatles : le 11 avril 1969, parait le 45 tours Get Back/Don't Let Me Down sur laquelle est inscrit ; « The Beatles with Billy Preston ». En 1969 toujours, il se voit offrir un contrat d'enregistrement avec Apple Records, il réalise ainsi son quatrième album That's the Way God Planned It produit par George Harrison et Wayne Shuler. On y retrouve Harrison à la guitare, au synthétiseur Moog ainsi qu'au sitar et aux chœurs, Eric Clapton est aussi à la guitare, Keith Richards à la basse, Ginger Baker à la batterie ainsi que les choristes Doris Troy et Madeline Bell. Paru en 1969 originellement, il sera réédité à deux reprises d'abord en 2001 avec trois chansons bonus puis en 2010 avec une autre pièce bonus. Puis l'année suivante, Billy réalise un deuxième album pour Apple Records, son cinquième dans sa discographie, Encouraging Words qui sera coproduit par Billy et George Harrison, ce dernier lui prête même deux de ses propres chansons My Sweet Lord et All Things Must Pass alors que lui-même ne les a pas encore enregistrées, les sessions de travail de son propre album débutèrent une fois celui de Preston achevées. On retrouve comme musiciens sur cet album de Billy, George Harrison à la guitare, au synthétiseur et aux chœurs, Eric Clapton et Delaney Bramlett également à la guitare, Carl Radle et Klaus Voormann à la basse ainsi que Jim Gordon et Ringo Starr à la batterie. Sur son sixième album, I Wrote a Simple Song, Billy a le plaisir d'accueillir à nouveau George Harrison au dobro, ainsi que Quincy Jones aux arrangements des cuivres et des cordes. Ensuite, il participe à l'album solo de George, All Things Must Pass à l'orgue et au piano, qui sort en novembre 1970. Et le , il retrouve Harrison, Clapton et Ringo Starr sur la scène du Madison Square Garden de New York dans le cadre du Concert pour le Bangladesh. Par la suite, Blly participa sur d'autres albums de George Harrison, Dark Horse en 1974 au piano acoustique et électrique ainsi qu'à l'orgue sur 4 chansons. Puis en 1975 pour l'album Extra Texture (Read All About It), alors qu'il joue le piano électrique sur la pièce His Name Is Legs (Ladies and Gentlemen). Il remet ça l'année suivante pour l'album Thirty Three & 1/3, pour lequel il joue le piano, l'orgue et le synthétiseur, en compagnie de deux autres grands claviéristes, Gary Wright et David Foster. Il retrouvera George Harrison en 1982 sur son album Gone Troppo, au piano, à l'orgue, au synthétiseur et autres claviers divers, ce sera la dernière collaboration entre ces deux grands musiciens. Et le  pour le concert en hommage à Harrison, Concert for George, il est invité avec tous les musiciens réunis pour l'occasion et il interprète alors deux chansons Isn't It a Pity et My Sweet Lord au chant et à l'orgue et il accompagne aussi Ringo Starr sur Honey Don't à l'orgue ainsi que Eric Clapton sur Wah-Wah aux chœurs.

Autres collaborations[modifier | modifier le code]

Il travaille ensuite avec les Rolling Stones, autant en concerts que sur disques, sur Sticky Fingers pour lequel il joue l'orgue sur Stray Cat Blues et Bitch, Exile on Main Street où il est au piano et à l'orgue sur Shine a light, Goats Head Soup au clavinet et au piano sur 100 years ago et au piano sur Doo Doo Doo Doo Doo (Heartbreaker), It's Only Rock'n Roll sur 4 titres et surtout Black and Blue, dans lequel il est l'inspirateur du titre Melody, avec sa propre chanson Do You Love Me?. Il y joue l'orgue sur Hey Negrita et Melody, le piano sur Hot Stuff, Hand of Fate, Hey Negrita, Melody et Crazy Mama, le synthétiseur de cordes sur Memory Motel, les chœurs sur Hot Stuff, Memory Motel, Melody et Hey Negrita et finalement les percussions sur Melody. On le retrouvera à nouveau avec les Rolling Stones sur Love You Live, Tattoo You, Bridges to Babylon ainsi que sur l'album solo de Mick Jagger en 1993, Wandering Spirit.

Il accompagne aussi John Lennon sur l'album John Lennon/Plastic Ono Band , il est au piano sur la chanson God, il joue aussi l'orgue sur l'album de John et Yoko Some Time in New York City. On le retrouve également avec Sly and The Family Stone pour leur album There's a Riot Goin' On, Peter Frampton sur Wind of Change, Ringo Starr sur l'album Ringo à l'orgue sur les titres I'm the Greatest et Oh My My, Goodnight Vienna au piano électrique sur Only You (And You Alone) ainsi qu'au clavinet sur la pièce-titre, Choose Lovepour lequel il joue le piano et l'orgue en plus des chœurs sur la chanson Hard To Be True et enfin sur Ringo Starr and His Third All-Starr Band-Volume 1 de 1997. Ensuite avec Eric Clapton sur No Reason to Cry, Reptile, One More Car, One More Rider, Me and Mr Johnson et le DVD Sessions for Robert J., Crossroads, Back Home et finalement The Road to Escondido, tout cela en menant en parallèle sa carrière solo.

Compositeur[modifier | modifier le code]

Il a aussi collaboré à l'écriture de la chanson You are so beautiful avec Dennis Wilson et Bruce Fisher, qui est devenu un succès pour Joe Cocker. Elle a d'abord été enregistrée par Preston lui-même sur son album The Kids & Me sorti en 1974, puis Cocker l'a reprise sur son cinquième disque I Can Stand a Little Rain la même année.

Décès[modifier | modifier le code]

Billy Preston a souffert d'une maladie rénale dans ses dernières années, provoquée par son hypertension. Il a reçu une greffe de rein en 2002, mais sa santé a continué à se détériorer. Il est entré volontairement dans une clinique de réhabilitation pour toxicomanes à Malibu, en Californie, sur la suggestion du guitariste Is'real Benton, et a souffert de péricardite, entraînant une insuffisance respiratoire qui l'a laissé dans le coma à partir du 21 novembre 2005. Il est décédé le 6 juin 2006 à Scottsdale, en Arizona.

Discographie[modifier | modifier le code]

- Albums studio :

  • (1962) 16 Years Old Soul - Enregistré sur le label de Sam Cooke, Sar Label, alors qu'il était encore étudiant.
  • (1965) The Most Exciting Organ Ever - Entièrement instrumental.
  • (1965) Early Hits of'65 - Enregistré pendant les mêmes sessions que l'album précédent.
  • (1966) Hymns Speak from the Organ - Arrangements de Sly Stone, album de musique gospel.
  • (1966) The Wildest Organ In Town
  • (1967) Club Meeting - Continuité de l'album précédent.
  • (1969) That's The Way God Planned It - Premier album sur Apple Records avec George Harrison, Eric Clapton, Keith Richards, Ginger Baker, etc.
  • (1970) Encouraging Words - Deuxième et dernier album sur Apple avec Harrison, Clapton, Ringo Starr, Delaney Bramlett, etc.
  • (1971) I Wrote A Simple Song - Désormais avec A&M Records. Quincy Jones et George Harrison participent à l'album.
  • (1972) Music Is My life - Reprend Blackbird des Beatles et inclut le succès Will it go round in circles.
  • (1973) Everybody Likes Some Kind of Music - Reprend It's Alright, Ma (I'm Only Bleeding) de Bob Dylan.
  • (1973) Gospel In My Soul - Album de gospel.
  • (1974) The Kids and Me
  • (1975) It's My Pleasure
  • (1976) Billy Preston
  • (1977) A Whole New Thing - Dernier album avec A&M Records.
  • (1978) Behold! - Album gospel, Myrrh Records.
  • (1979) Late At Night
  • (1980) Universal Love - Album gospel.
  • (1981) Billy Preston & Syreeta
  • (1981) The Way I Am
  • (1982) Pressin' On
  • (1984) On the Air - Reprend Here, There and Everywhere des Beatles.
  • (1986) You Can't Keep A Good Man Down
  • (1994) Ministry of Music - Album gospel.
  • (1995) Billy's Back
  • (1995) Minister of Music - Album gospel.
  • (1996) Words and Music - Album gospel.
  • (2001) You and I - Avec le groupe italien Novecento.
  • (2001) Music From My Heart - Album gospel.

- Album live :

  • (1974) Live European Tour 1973 - Avec Mick Taylor à la guitare et aux chœurs
Participations[modifier | modifier le code]

Filmographie[modifier | modifier le code]

Comme acteur
Cinéma 
Télévision 
  • 1972 À 1977 : Soul Train Série-télé : Joua dans 5 épisodes : Lui-même.
  • 1975 : ¡Señoras y señores! : - Série-télé : Épisode du I Mars 1975 : Rôle non défini.
  • 1997 : The Good News : - Série-télé : Joua dans 7 épisodes : Lui-même.
  • 2003 : On Faith Alone : The Jozy Pollock Story (Court-métrage télévisé) : Rôle non défini.
  • 2005 : Music 101 : Série-télé : Keys
  • 2005 : Music Cares Person of the Year : Brian Wilson (Spectacle Télévisé) : Lui-même.
Vidéo 
  • 1992 : The Kingdom Chums: Original Top Ten (Vidéo) : Mose - Prête sa voix au personnage.
Comme Compositeur
SurnomBilly Preston
Nom de naissanceWilliam Everett Preston
Naissance
Drapeau des États-Unis Houston, Texas
Décès (à 59 ans)
Drapeau des États-Unis Scottsdale, Arizona
Activité principaleAuteur-compositeur-interprète, claviériste, producteur
Activités annexesActeur
Genre musicalRhythm and blues, rock
soul, funk, gospel
InstrumentsPiano acoustique et électrique, accordéon, orgue Hammond
Années actives1956 à 2005
LabelsDerby, Vee-Jay, Apple, Capitol, Atlantic, Buddah, A&M, Motown
InfluencesRay Charles
Louis Jordan
Pete Johnson
Site officielwww.billypreston.net
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